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Études réalisées

Systèmes d'information

 

Cette publication fait suite à un marché public lancé en 2021 et qui avait pour but la construction d’un référentiel pour l’observation de la pratique professionnelle et de l’emploi culturels en FW-B. Celui-ci a été attribué à une équipe de chercheurs issus de l’Université de Liège (Maison des Sciences de l’Homme, Laboratoire d’Etude des Médias et de la Médiation et Laboratoire d’Etude sur les Nouvelles formes de Travail, l’Innovation et le Changement). 

Les objectifs de cet article sont doubles : il s’agit, d’une part, de présenter les concepts liés à l’emploi culturel ainsi que les approches nationales et internationales autour de l’emploi culturel et les données existantes, afin de permettre, dans une prochaine recherche, de définir adéquatement le périmètre d’un futur cadastre de l’emploi dans le secteur culturel et d’en connaître ses limites. Il s’agit, d’autre part, d’être à même, grâce à la construction de ce référentiel, de construire une méthodologie de suivi du secteur dans une prochaine étude. Autrement dit, cette première recherche n’avait pas pour objectif de traiter les données relatives à l’emploi, mais de viser à expliciter le cadre à partir duquel seront construites les catégories qui per mettront sa mesure.

L’Observatoire vient de terminer la rédaction du cahier des charges qui permettra, en 2023 de démarrer une recherche visant à construire le cadastre de l’emploi dans le secteur culturel.

En 2021, l’Observatoire a lancé un marché public relatif à la construction d’un référentiel pour l’observation de la pratique professionnelle et de l’emploi culturels en FW-B. Celui-ci a été attribué à une équipe de chercheurs issus de l’Université de Liège (Maison des Sciences de l’Homme, Laboratoire d’Etude des Médias et de la Médiation et Laboratoire d’Etude sur les Nouvelles formes de Travail, l’Innovation et le Changement). 

Cette étude répond à deux objectifs : d’une part, permettre dans une prochaine recherche visant à réaliser un cadastre de l’emploi culturel de délimiter le périmètre d’étude ; d’autre part, être à même, grâce à ce référentiel, de construire une méthodologie de suivi du secteur dans une prochaine étude. Dans cette recherche, il ne s’agit donc pas de traiter les données relatives à l’emploi, mais de viser à expliciter le cadre à partir duquel seront construites les catégories qui permettront sa mesure. Il s’agit par ailleurs d’analyser les conditions, les problèmes ainsi que les ressources qui peuvent être mobilisées en vue de l’établissement d’un cadastre de l’emploi culturel qui réponde aux besoins d’information de la FW-B. Trois étapes étaient prévues par le cahier des charges et structurent le rapport final de l’étude : 1. La définition du périmètre de l’étude et des termes employés (emploi, emploi culturel, etc.) 2. La consultation des bases de données existantes (et des instances de concertation sectorielles) 3. Les recadrages éventuels, les approfondissements et la finalisation du rapport.

La recherche est aujourd’hui terminée (le rapport final a été validé par les membres du Comité d’Accompagnement de l’étude) et un article va être publié dans le courant de l’année 2022.

Pour plus d'informations : maud.vancampenhoudt(at)cfwb.be

 

Cycle de quatre séminaires sur la question du développement des statistiques culturelles en FW-B

Si l’Observatoire n’a pas pour vocation de produire de la statistique culturelle, (cette fonction est, jusqu’à présent confiée à l’ETNIC), bon nombre de ses travaux nécessitent cependant le recours aux données chiffrées pour construire une représentation des secteurs et matières culturelles. Il importe donc que des données soient collectées, stockées, historicisées et publiées. La question des données « utiles » à l’observation et à l’analyse des politiques culturelles avait déjà fait l’objet d’une première étude, en 2002, sur les systèmes d’information relatifs aux opérateurs subventionnés et développés par les services de la Direction générale de la culture. En conclusion de ce travail, un certain nombre de recommandations avaient été formulées et concernaient notamment le statut des opérateurs, les flux financiers et l’emploi, les activités ainsi que la mesure de la participation des populations. Dans son dernier rapport d’activités (mai 2014), l’Observatoire recommandait qu’une politique coordonnée soit instaurée en matière d’information et de statistiques relatives aux politiques culturelles. Ces recommandations ont, par ailleurs, été reprises dans le Contrat d’Administration.

Pour mettre concrètement en œuvre ces recommandations, l’Administration générale de la culture (AGC) et l’Observatoire des politiques culturelles (OPC) ont signé fin janvier 2017 un protocole de collaboration et de partenariat en matière de conception et de construction d’un système d’information coordonné relatif aux politiques culturelles. Cette convention porte sur la mise en œuvre progressive d’une coordination opérationnelle entre l’OPC et les différents services de l’AGC en matière de conception et de construction de référentiels, d’outils et de données statistiques relatifs aux politiques culturelles.
Cette coordination porte notamment sur les objets suivants : les typologies (des politiques culturelles, des opérateurs culturels, des instruments de politique culturelle), le thésaurus des politiques culturelles, les législations, réglementations et autres normes de politique culturelle, les données relatives au budget administré par l’AGC et à son affectation entre les différentes politiques, les données relatives aux infrastructures culturelles de la FW-B, les bilans et procès-verbaux des organes d’avis et de concertation, l’inventaire (annuel) des opérateurs culturels subventionnés, les données relatives au budget administré par l’AGC et de son affectation entre les opérateurs subventionnés, les données relatives à l’organisation des services administratifs en charge de la Culture, les données d’information comptables des opérateurs culturels subventionnés, les données relatives aux activités des opérateurs culturels subventionnés, les données relatives aux publics, à la participation des populations, et aux conditions d’accès (cibles, tarifs,…) et les données relatives à l’emploi des opérateurs culturels subventionnés.

De manière à soutenir la coopération décrite dans cette convention, l’AGC et l’OPC ont décidé d’organiser en 2017 et 2018 un cycle de quatre séminaires sur la question du développement des statistiques culturelles en FW-B. 
Ces séminaires porteront successivement sur : 1° la mesure des pratiques culturelles et de la participation sociale à la culture, 2° les dépenses et le financement culturels, 3° les indicateurs économiques et la mesure de l’emploi, 4° le périmètre du champ culturel.

Ce cycle de séminaires s’articule autour de trois questions centrales qui en dessinent l’horizon de référence :

Quelles représentations du monde sont véhiculées par les choix méthodologiques en matière de statistiques culturelles ?
Quelles sont les pistes concrètes pour dépasser les obstacles et difficultés actuelles ?
En quoi les données collectées peuvent-elles être utiles aux opérateurs et aux usagers ?

 

Statistiques des musées belges (pdf)

Cette deuxième enquête bEGMUS, consacrée aux données 2006, s'est déroulée, sur une base nationale, de septembre 2007 à mai 2008.
Au total, 898 musées ont été contactés, dont 445  ont complété le formulaire d'enquête.
Étude réalisée en association avec les partenaires bEGMUS.

Évolution des dépenses culturelles en Communauté française de 1984 à 2007 (pdf)

Ce nouveau rapport prolonge une démarche initiée par l'OPC dès sa création, en 2001.
Nous avons en effet considéré que l'OPC se devait de reconstituer l'évolution des dépenses culturelles du Ministère sur une longue période.

Les premiers travaux menés dans cette perspective ont bénéficié de l'apport du CREW que dirige le Professeur Robert Deschamps. La tâche fut confiée à une chercheuse du Centre, Régine Paque, qui établit un premier rapport couvrant la période 1981 à 2001.
Dans une deuxième étude, elle prolongeait les séries par deux années supplémentaires et apportait diverses nouvelles informations.

Exploitation des données muséales relatives à la Communauté française (pdf)

Le Ministère de la Communauté française – plus précisément, le Service du Patrimoine culturel et l’Observatoire des Politiques culturelles - est membre du réseau européen EGMUS centré sur la collecte des données concernant les musées.En Belgique, les différents opérateurs institutionnels sont regroupés sous le label de bEGMUS. Ensemble, ils ont participé à la levée d’informations relatives à l’année 2006. Dans l’attente du rapport belge, l’OPC livre ici un ensemble de résultats de l’enquête, mais pour les seuls musées qui sont situés en Communauté française (non compris les institutions fédérales situées à Bruxelles).Une analyse de ces résultats est le produit du travail de « Comase Management Consulting » qui avait déjà réalisé, en 2004, un premier portrait socioéconomique du monde muséal en Communauté française (hors institutions fédérales à Bruxelles). Cette analyse fonde le présent rapport.

Construction du portrait socio-économique des institutions conventionnées et subventionnées en Arts plastiques (pdf)

Étude réalisée pour le compte de l'OPC et du Service des Arts plastiques du Ministère de la Communauté française.
Elle a pour objectif la constitution d'une base de données permettant, par institution, de réunir les informations relatives aux ressources et emplois financiers, aux activités du secteur des arts plastiques, à l'emploi (y compris le bénévolat) et à la fréquentation du public.
C'est l'année de référence 2006 qui a été choisie pour élaborer le portrait socio- économique de ce secteur.

Portrait économique et financier du secteur des télévisions locales en Communauté française (pdf)

Les douze opérateurs associatifs concernés sont encadrés par une législation et un système de subventions qui dépendent de la Communauté française, en échange de la mise en oeuvre de missions de service public.
Toutefois, la survie des opérateurs est fortement liée à leur capacité à générer des recettes propres.
Aussi, ce secteur peut-il être examiné à la lumière de la comptabilité financière, afin d'en déterminer les caractéristiques sectorielles.
Le présent travail porte sur l'analyse de la période 1998-2005.
Il est extrait et commenté, au départ d'un travail de plus grande ampleur (non publié) réalisé par Monsieur Augustin Mbangala Mapapa, Maître de conférence et chargé de cours aux HEC-Ecole de gestion de l'Université de Liège.

Construction d'un portrait socioéconomique du secteur de l'édition belge francophone et de ses secteurs connexes de la diffusion et de la distribution (pdf)

Étude réalisée pour le compte de l'Observatoire par la société CAIRN, en collaboration avec le Centre de sociologie du travail, de l'emploi et de la formation de l'ULB. Première industrie culturelle de la Communauté française de Belgique, le secteur du livre est aujourd'hui l'objet de multiples évolutions et transformations, qui ne peuvent laisser insensibles les pouvoirs publics. Aussi, l'Observatoire envisage-t-il de mettre en place un outil de suivi à même d'améliorer la connaissance que les pouvoirs publics, mais aussi les professionnels et tous les observateurs concernés peuvent avoir du secteur de l'édition et de ses secteurs connexes, la diffusion et la distribution.Dans le présent travail, sur base d'un ensemble d'indicateurs proposé par l'Observatoire, CAIRN et le TEF-ULB ont dressé un inventaire critique des sources disponibles, identifié les processus par lesquels une information fiable et plus complète pouvait être récoltée et traitée, et ils ont émis des recommandations à destination des pouvoirs publics.

Le secteur muséal en Communauté française (pdf)

Ce document à vocation pédagogique aboutit à la construction d'un portrait socioéconomique du secteur muséal en Communauté française. Il a été conçu et réalisé par la Société Newcom, qui en a confié la rédaction à Jean-Luc Léonard, en collaboration avec divers membres de l'Administration.
Voir aussi la revue "Faits et gestes",
n°17, 3ème trimestre 2005, "Les institutions muséales en Communauté française"

Rapport final du portrait socioéconomique du secteur des musées situés en Communauté française, à l'exception des musées fédéraux situés à Bruxelles. Ce document synthétise les résultats d'une enquête générale portant sur les années 2002 et 2003, offrant un ensemble d'informations relatives à l'identification des musées, leurs missions et leurs structures, leurs publics, leurs activités, leurs systèmes de tarification, leurs modes de communication externe, les sous-traitances auxquelles elles font appel, leurs infrastructures, leurs collections, leurs personnels, et différents aspects financiers.
Cette enquête s'est basée au départ sur une liste initiale de 413 institutions, ramenée après correction à 363 institutions. L'enquête a été réalisée au départ d'un questionnaire écrit et d'un guide d'utilisation destiné aux personnes qui répondaient au questionnaire. Pour ce qui concerne la méthodologie d'enquête, voir le rapport final.

L'OPC représente le Service du Patrimoine culturel du Ministère de la Communauté française au sein du groupe belge du réseau EGMUS (European Group on Museum Statistics), "bEGMUS". Des partenaires fédéraux, flamands et de Bruxelles ont réalisé en 2004 une collecte de données portant sur l'année 2002. Bien que la Communauté française était déjà membre de ce groupe, elle n'a pas participé à cette levée d'informations, car l'OPC venait juste de terminer sa propre récolte de questionnaires auprès des musées situés en Communauté française, en vue de la rédaction d'un portrait socioéconomique sectoriel. Toutefois, les informations recueillies en Communauté française ont été intégrées au rapport d'activités 2004 que bEGMUS a réalisé pour le compte de la Belgique dans le cadre du réseau européen d'EGMUS.

Séries chronologiques des dépenses culturelles de la Communauté française (1981-2003- (pdf)

Actualisation, pour l'année 2003, de l'étude sur l'évolution des dépenses culturelles en Communauté française. Le présent document contient les premiers résultats de l’étude menée par le Centre de Recherches sur l’Economie Wallonne (CREW) pour le compte de l’Observatoire. Il fournit les données d’ensemble, et les rapporte au Produit Intérieur communautaire, à la population, etc.

Évolution des dépenses culturelles de la Communauté française : 1981-2001 (pdf)

Synthèse de l'étude "Séries chronologiques des dépenses culturelles de la Communauté française (1981-2001)", réalisée par Régine Paque, Chercheur au Centre de Recherches sur l’Economie Wallonne.

Élaboration de statistiques et indicateurs culturels au sein d’un État fédéral : le cas de la Belgique (pdf)

Intervention au Colloque international sur les statistiques culturelles organisé par l'Institut de statistiques de l'UNESCO et l'Observatoire de la culture et des communications du Québec, intitulé « Les statistiques face aux défis de la diversité culturelle dans un contexte de globalisation », 21-23 octobre 2002, Montréal.

Évaluation

 

Début 2020, la ministre de la Culture a confié à l’Observatoire l’encadrement de l’évaluation du Décret relatif à la reconnaissance et au subventionnement d’un secteur culturel regroupant deux profils d’opérateurs culturels distincts et très diversifiés : les Centres d’Expression et de Créativité et leur fédération d’une part, les fédérations de pratiques artistiques en amateur d’autre part.

L’originalité de la recherche tient en plusieurs points. Un Comité d’accompagnement, regroupant les représentants de l’ensemble des acteurs concernés a été invité à faire part des préoccupations sectorielles et des pistes à explorer. Étroitement associés tout le long du processus d’évaluation, ces experts ont souhaité dé­couvrir ce à quoi le décret a pu conduire en termes de reconnaissance et de soutien : quel impact sur la configuration sectorielle, sur les publics ? L’Observatoire a par ailleurs choisi de sortir de ses cadres habituels de recherche, en confiant les travaux à un consortium de chercheurs pluri­disciplinaires composé de professeurs de l’UCLouvain et de son Institut de recherche en science psychologique (IPSY), alliant de cette manière approche sociologique et psychologique. La mobilisation de méthodologies éprouvées, mais aux ré­férentiels hybrides, propose des éléments de réponse aux enjeux conjointement identifiés par le Comité d’accompagnement.


L’Observatoire de l’Enfance, de la Jeunesse et de l’Aide à la Jeunesse (OEJAJ) et l’Observatoire des politiques culturelles (OPC) ont réalisé l’évaluation du décret instaurant un Forum des Jeunes en Communauté française. Ce décret du 3 mai 2019 avait refondé un nouvel organe représentatif des jeunes en Fédération Wallonie-Bruxelles remplaçant le Conseil de la Jeunesse.

Cette évaluation, prévue par le décret, s’est déroulée tout au long de l’année 2021. Après une mise en perspective historique, le travail des Observatoires s’est organisé autour de trois questions transversales : la légitimité du Forum, la mobilisation et la diversité des jeunes, et la gouvernance.

Pour leur analyse, les Observatoires ont adopté une méthodologie mixte : analyse documentaire, enquête quantitative auprès des jeunes impliqués dans le Forum et entretiens de type qualitatif avec les différentes parties prenantes du dispositif.

L’évaluation a abouti à une série de recommandations. Celles-ci concernent les modalités d’évaluation telles que prévues dans le décret, les missions et la structuration du Forum des jeunes, l’enjeu de la diversité des jeunes impliqués dans le Forum, ses liens avec le secteur de la jeunesse, sa participation à la décision publique, sa notoriété, son organisation interne et, enfin, les moyens qui lui sont alloués.

Évaluation du décret de l'Éducation permanente (pdf)

En application de l’article 22 du décret du 17 juillet 2003 sur l’action associative dans le champ de l’éducation permanente, il est prévu que le Gouvernement procède à une évaluation du présent décret dans les six ans à dater de son entrée en vigueur et ensuite tous les cinq ans.

La première évaluation, menée en 2011, par le GIRSEF et SONECOM, privilégiait très logiquement la mise en œuvre du décret de 2003.
Pour mettre en œuvre la deuxième évaluation en étroite association avec les représentants du Conseil Supérieur de l’Éducation Permanente (CSEP), les services fonctionnels de la direction générale de la culture (service général de l’éducation permanente et service de l’inspection générale de la culture) et un représentant de la Ministre de la culture, l’Observatoire a élaboré, fin 2016, un cahier spécial des charges portant sur l’évaluation du Décret relatif au soutien de l'action associative dans le champ de l'Education permanente : identification des questions d’évaluation et conception et mise en œuvre des dispositifs d’évaluation les plus susceptibles d’y porter réponse. Le marché devrait être attribué fin mars 2017.
Cette évaluation doit permettre d’instruire un jugement sur la pertinence de la politique d’éducation permanente (adéquation entre les finalités du décret et les évolutions sociétales), ses résultats et impacts.
La démarche vise : 1° à identifier les questions d’évaluation pertinentes en regard des finalités du Décret de 2003 et susceptibles d’être documentées de manière adéquate en termes d’évaluation de politique publique ; 2° à concevoir et mettre en œuvre les dispositifs appropriés pour réaliser de manière effective cette évaluation ; 3° à mener ces deux démarches de manière participative et émancipatrice dans le cadre des travaux du Comité de pilotage.
Le Comité de pilotage de l’évaluation du décret sur l’action associative dans le champ de l’éducation permanente a été mis en place début février 2017.

Rapport final de recherche. Élaboration d'un référentiel, d'outils et d'indicateurs d'évaluation en alphabétisation des adultes (pdf)

Une première étude, commandée par l’Observatoire, a été réalisée en 2012, par le GIRSEF-UCL (Groupe interdisciplinaire en Recherche sur la socialisation, l’éducation et la formation – UCL), et formulait un certain nombre de recommandations dont celle d’élaborer un référentiel des actions d’alphabétisation et un système d’indicateurs d’évaluation de ces actions. 

Dans le droit fil de cette recommandation, l’Observatoire a élaboré (en étroite concertation avec le Comité de pilotage sur l’alphabétisation des adultes) un cahier spécial des charges attribué en 2017 au service Spiral de l’Université de Liège.
L’objectif de cette étude est d’aboutir, en concertation avec les différents acteurs impliqués, à : 1° la construction d’un cadre conceptuel de référence commun (référentiel) pour les dispositifs en application en 2015, qui doit s’inscrire dans les différentes logiques des mondes tels que décrits par le Girsef; 2° la production d’outils d’évaluation adaptés aux différents champs et secteurs concernés par l’alphabétisation.
Le travail d’inventaire, de clarification et d’actualisation attendu vise à améliorer : 1° la visibilité des finalités des actions d’alphabétisation ; 2° la connaissance des objectifs poursuivis par chaque type d’action d’alphabétisation et leurs liens avec les objectifs des dispositifs dans lesquels ils s’inscrivent ; 3° l’appréhension de l’impact des dispositifs et leurs liens avec leur(s) objet(s), objectifs et processus d’évaluation.

Quel(s) avenir(s) pour le Conseil de la jeunesse de la Communauté française ? Des balises pour la refondation (pdf)

En application de l’article 12 §1er du décret du 14 novembre 2008, instaurant le Conseil de la Jeunesse en Communauté française, les services du Gouvernement sont chargés du contrôle d’application du présent décret et de ses arrêtés d’exécution. L’évaluation externe du décret a été confiée à l’Observatoire des politiques culturelles et à l’Observatoire de l’Enfance, de la Jeunesse et de l’Aide à la Jeunesse. Cette évaluation est notamment fondée sur une évaluation interne du Conseil de la Jeunesse, à laquelle sont associées toutes ses composantes. Un appel d'offres a été lancé pour une attribution en avril 2017. 

Pour plus d'informations : michel.guerin(at)cfwb.be

Évaluation du décret du 17 juillet 2003 relatif au soutien de l'action associative dans le champ de l'éducation permanente (pdf)

En son article 22, le décret du 17 juillet 2003 sur l’éducation permanente a prévu que, tous les cinq ans, son application serait soumise à évaluation par le Gouvernement.
La première de ces évaluations a été menée en 2011 sous l’égide de l’Observatoire et a abouti à ce rapport.

Rapport. Évaluation du décret du 20 juin 1980 fixant les conditions de reconnaissance et d'octroi de subventions aux organisations de jeunesse (pdf)

En 2006, le Cabinet de la Culture chargeait l'Observatoire des politiques culturelles et l'Observatoire de l'Enfance, de la Jeunesse et de l'Aide à la Jeunesse, en concertation avec le Service Jeunesse et l'Inspection de la Culture de conduire un processus d'évaluation du décret organisant le secteur des Organisations de Jeunesse en vue de poser les bases d'un futur décret.
Avec le concours de l'Agence Alter et l'accompagnement scientifique des Facultés Universitaires St Louis, le processus d'évaluation s'est déroulé de mars à novembre 2006 avec les représentants des Organisations de Jeunesse.
Le rapport présente la méthodologie déployée, une synthèse des débats et les principales recommandations émises par les différents groupes des travail.